Il semblait important pour les dirigeants du SNAT, de pouvoir communiquer sur la correspondance que nous avions pu échanger, suite au congrès de Copenhague.
Ce n'est pas un problème de laisser la lecture libre de cette échange, même si effectivement et une nouvelle fois je trouve cela appauvrissant humainement.
Nous avions essayé d'être le plus transparent possible, lors de ces échanges, sans jamais manquer de correction malgré la portée des propos et sujets abordés, qui ne méritaient pas d'être diffuser publiquement. Surtout pas en période de trouble. Je sais à présent que le dossier des encres est réglé, j'ai respecté mes engagements, ceux qui consistaient à faire bonne figure auprès des politiques et de la communauté du tatouage. Sans doute et justement, pour ne pas être contre productif...