Tatouage & Partage vous raconte le Cantal Ink 2016

  
 

Le festival de tatouage Cantal Ink et l’association Tatouage & Partage cultivent des origines communes : elles ont toutes deux été souhaitées et pensées par Stéphane Chaudesaigues pour faire sortir le tattoo de la marginalité dans laquelle on a trop souvent voulu l’enfermer. Partenaire de l’événement, Tatouage & Partage était présent à l’édition 2016 et vous rapporte la liste (non-exhaustive) de ce qu’elle y a vu.

Un événement tattoo pluri-générationnel

Comme au cours des années précédentes, Tatouage & Partage a croisé des populations qu’on n’imaginait pas, il y a encore une poignée d’années, se mélanger avec les adeptes de la modification corporelle. Nous avons vu des grands-mères et des grands-pères à la peau vierge composer avec des colosses bodybuildés bardés de tattoos. Nous avons souri à des mères venues avec leurs enfants en bas âge, passant d’un stand à un autre sous les yeux ébahis de leurs bambins.

Croisés sur Tatoueurs, ma parole et dans le Cantal

Au Cantal Ink 2016, Tatouage & Partage a recroisé certains tatoueurs qui s’étaient prêté au jeu de l’interview pour notre association à travers le programme Tatoueurs, ma parole. Parmi eux : Goran Ivic, Manuella Ana et Bop John. On n’a pu qu’admirer la poignée de mains chaleureuse échangée entre ce dernier et un certain Bruno de Pigalle, 1er tatoueur officiel de France entré le samedi après-midi dans la salle des tatoueurs et suivi par une horde de photographes et de curieux en pâmoison.

Le Japon et les Samoa rencontrent la France

Tatouage & Partage a vu un Japonais, un Samoan et un Français tatouer à la main, sans dermographe. Nous avons assisté à deux conférences de tattoos sur l’évolution de l’encrage en France et sur les bodmods. Nous avons été témoins de pièces sublimes, de rires et d’une bonne humeur qui nous font dire qu’après tout, une édition 2017 est bien possible…

 

Crédit photos : Dams