L’apparence physique mise à nu dans un dossier de Respect Mag

  
 

Pour le compte du magazine trimestriel Respect Mag, Julien Legros met à nu l’apparence physique dans un dossier baptisé « Quand l’art casse les codes ». Les intervenants de ce dossier consultable gratuitement sur le web ? Le photographe Denis Darzacq, l’anthropologue Betty Mercier-Lefèvre, et le tatoueur Stéphane Chaudesaigues, président de l’association Tatouage & Partage.

Consulter l’intégralité du dossier en ligne

www.respectmag.com/dossiers/discrimination-physique/2015/06/30/quand-lart-casse-les-codes

Crédit photo : Dams

Les questions et les réponses

Comment désamorcer les jugements négatifs sur les corps sortant de l’habituel, du communément admis ? De quelle façon intégrer que l’on soit fasciné, mais aussi effrayé par des apparences physiques différentes, jugées hors-normes et objets de nombreuses discriminations ? L’art peut-il être une ressource contre les discriminations ? C’est à toutes ces questions que le journaliste tente de répondre, dans un dossier publié au début du mois de juillet 2015.

Crédit photo : Dams

Les clés de lecture du tatouage

Pour apporter des réponses éclairées, Julien Legros s’attache à décrire différents types de discriminations liées à l’apparence physique, avant de se focaliser sur le tatouage. Marque identitaire, signe de rébellion : les clés de lecture du tatouage, plurielles, sont ici décrites.

Crédit photo : Dams

Le statut du tatoueur et l’apprentissage

Intervenant pour le dossier, Stéphane Chaudesaigues en a profité pour revenir sur l’absence d’encadrement juridique sur la formation et l’apprentissage, ainsi que sur le flou concernant le statut du tatoueur en France, cause pour laquelle le tatoueur réaliste milite sans relâche. « N’importe qui peut s’installer et faire du tatouage : on n’a toujours pas de statut, on n’existe pas ! » rappelle le président de Tatouage & Partage. « On ne peut donc pas avoir d’assurance professionnelle », poursuit-il, « malgré les énormes charges qu’on paie. C’est d’autant plus dommageable qu’il y a de gros risques. Les gens peuvent être allergiques au latex, à un pigment, à l’alcool, au pollen, au gluten et se retourner contre nous. C’est un vrai problème de santé publique ».