2019 s’achève et, avec elle, douze mois d’une actualité tattoo copieusement remplie. Tatouage & Partage vous propose de redécouvrir 20 actualités qui ont marqué l’année du tatouage et de notre association.
C’est la Tunisie qui a accueilli la toute première école de tatouage d’Afrique du Nord, ouverte en 2019 pour rendre ses lettres de noblesse à une pratique longtemps considérée comme vulgaire, avant de redevenir tendance auprès des jeunes de la région.
Relire notre article complet : La première école de tatouage d’Afrique du Nord vient d’ouvrir
France 3 se penchait sur la maison centrale de Saint-Maur, dans l’Indre, qui a installé en ses murs un vrai salon de tatouage. Un projet unique en France mêlant artisanat, art et optique de réinsertion.
Relire notre article complet : Un salon de tatouage unique dans un centre pénitentiaire de l'Indre
Paru en avril 2019, un livre signé d’un tatoueur propose d’« apprendre à tatouer » et a suscité le débat. Si l’initiative est saluée par nombre d’internautes, qui y voient une démarche à la fois pédagogique et artistique, elle est décriée par d’autres.
Relire notre article complet : « Apprendre à tatouer » : avant sa parution, un livre de conseils fait polémique
« Faut-il brûler les écoles de tatouage ? », questionnait Grenouille dans Tatouage Magazine. La secrétaire du SNAT s’offrait une tribune sur un thème brûlant, en éludant malheureusement les propositions émises par Tatouage & Partage.
Relire notre article complet : Dans Tatouage Magazine, la secrétaire du SNAT demande s’il faut « brûler les écoles de tatouage »
En Italie, l’Académie des beaux-arts d’Udine a accueilli en son sein la MITA, « école internationale de tatouage artistique ». Le cursus proposé est complet et offre d’apprendre à tatouer sur près de 2 250 heures réparties sur 3 années. Mais la formation proposée par Alex De Pase n’est pas gratuite.
Relire notre article complet : École de tatouage artistique en Italie : un cursus ambitieux mais des coûts élevés
En juin 2019 à Limoges, un colloque est revenu sur la thématique des tatouages et des modifications corporelles à travers le prisme du droit. Maîtresses de conférences en droit privé, Mélanie Jaoul et Delphine Tharaud étaient les deux coorganisatrices du colloque baptisé « Le tatouage et les modifications corporelles saisis par le droit ». L’objectif de cette journée d’interventions et de débats : montrer que le tatouage et la profession de tatoueur sont de vrais objets juridiques.
Relire notre article complet : Un colloque sur le tatouage et le droit le 6 juin 2019
L’ARS Auvergne-Rhône-Alpes informait en 2019 de la règlementation en vigueur pour les professionnels du tatouage, mais conseillait également ceux qui souhaitent se faire tatouer, dans un document baptisé « Pour un tatouage sans cafouillage ! ».
Relire notre article complet : L’ARS délivre des conseils « pour un tatouage sans cafouillage »
La très sérieuse FDA, l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux, a rappelé plusieurs encres de tatouage en raison d’une possible contamination bactériologique.
Relire notre article complet : Contamination bactériologique : plusieurs encres de tatouage rappelées en urgence aux USA
« Voilà un vaste sujet ! » C’est ce qu’annoncent d’emblée Delphine Tharaud et Mélanie Jaoul (voir ci-avant), à l’origine de l’article. En quelques 2 000 mots, les deux maîtresses de conférences se sont penchées sur les tatouages et les modifications corporelles et particulièrement leur passage d’un phénomène sociologique à un objet juridique.
Relire notre article complet : Le tatouage dans le droit sur le site de Dalloz
Transmise en 2019 par l’agence France-Presse, l’information est très sérieuse : en Iran, les personnes tatouées doivent désormais se soumettre à un test psychologique avant de se voir délivrer le permis de conduire.
Relire notre article complet : En Iran, un test psychologique obligatoire pour les candidats au permis de conduire tatoués
En Bretagne, un homme de 29 ans a passé à tabac un tatoueur... parce qu’il jugeait raté le nouveau tatouage de sa petite amie.
Relire notre article complet : Un tatoueur passé à tabac pour un tatouage raté
Une récente dépêche AFP est venue jeter un nouveau voile sur le tattoo : une équipe internationale de chercheurs avance que les particules de métal des aiguilles de tatouage pourraient provoquer d’inquiétantes allergies.
Relire notre article complet : Après les encres de tatouage, les aiguilles sur la sellette
L’AFP a révélé que de nombreux Hongkongais se sont fait tatouer les symboles de la contestation, en plein contexte de manifestations contre l’amendement de la loi d’extradition. Dans cette région où l’engagement est massif, certains professionnels ont même tatoué les manifestants gratuitement.
Relire notre article complet : À Hong Kong, le tatouage porte les manifestations
En aout 2019, l’enseigne de grande distribution E.Leclerc publiait une offre d’emploi pour « TATOUEUR H/F ». Outre le support, ce sont les critères qui permettent d’interroger une fois de plus l’avenir de la profession… et son présent.
Relire notre article complet : E.Leclerc cherche tatoueur « non diplômé » : symptôme d’une dérive ?
Au Mans, une femme de 24 ans qui avait réalisé des eyeball tattoos a été condamnée par la Justice pour exercice illégal… de la médecine.
Relire notre article complet : Condamnée pour exercice illégal de la médecine pour 3 tattoos dans les yeux
En Suisse, « la chasse aux tatoueurs à la sauvette est ouverte », titrait le journal 20 Minutes au mois de septembre 2019. « La Confédération propose de mieux encadrer la profession, ce que certains spécialistes voient d’un bon œil », apprenait-on.
Relire notre article complet : La Suisse ouvre la chasse aux tatoueurs clandestins
Pour son édition 2019, le Salon du Tatouage de Clermont-Ferrand a proposé un atelier baptisé « Le tatouage par les non-tatoueurs ». Avec un guest choc : le premier robot tatoueur, développé en 2013. L’occasion de questionner à nouveau l’avenir de la discipline.
Relire notre article complet : À Clermont-Ferrand, le premier robot tatoueur en démonstration
Du 17 au 31 octobre 2019, la galerie Meyer à Paris a accueilli le public pour une exposition sur le tatouage dans les îles du Pacifique et les cultures eskimo.
Relire notre article complet : Octobre 2019 : une exposition sur le tatouage à Paris
Fondateur et président de Tatouage & Partage, Stéphane Chaudesaigues a déclaré en 2019 sa candidature aux élections municipales. Un tatoueur sur un siège de maire, c’est la perspective pour tous les tatoueurs de France de voir enfin la question de leur absence de statut amenée sur la table des discussions par un élu.
Relire notre article complet : Une candidature aux municipales pour l’obtention d’un statut pour les tatoueurs
Pour la 4ème année consécutive, Tatouage & Partage participait au Challenge Tattoo de Noël. Pendant tout un week-end, quelques jours avant Noël, les tatoueurs et perceurs de France ont eu la possibilité de verser la moitié des sommes récoltées pour leurs actes de tatouage et de piercing, au profit d’une bonne action.
Relire notre article complet : Tatouage & Partage vous fait revivre le Challenge Tattoo 2019
Tout le bureau de Tatouage & Partage tient à vous remercier de votre engagement à nos côtés, et vous souhaite une année 2020 couronnée de succès. Une idée de bonne résolution ? Adhérez en quelques clics seulement à notre association pour défendre tou·tes les tatoueur·ses de France !
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