Il y a de très grands tatoueurs qui réalisent des pièces magnifiques. C’est d’ailleurs ces pièces que l’on voit le plus circuler sur les réseaux sociaux. Ça fait rêver ! Mais voilà : tous les tatoueurs ne sont pas des Van Gogh, et l’on peut très vite se retrouver face à deux cas de figure.
Le premier cas de figure
Le tatoueur a réalisé une belle pièce mais le niveau d’exigence du client se situe bien au-delà.
C’est comme aller chez le coiffeur : on demande une coupe et on ressort avec une autre tête. Le client pense avoir été assez clair et s’être fait comprendre, le tatoueur pense avoir cerné les envies du tatoué et mince, ça part en cacahuètes ! Chacun de son côté s’énerve, étant l’un comme l’autre persuadé de sa bonne foi.
Le second cas de figure
Le tatoueur a été trop présomptueux sur ses capacités à réaliser une pièce, et laisse son client avec un « truc » pouvant – avec beaucoup d’imagination et les yeux fermés – faire penser au motif de départ. Ce qui, bien entendu, va fortement énerver le tatoué qui exigera « réparation ».
L’importance capitale de la traçabilité
Dans les deux cas de figure, les choses pourraient mal tourner. Voilà pourquoi la traçabilité est importante :
En gardant dans votre fichier client une trace de la demande première de votre client (support papier numérisé, photo, dessin…), de votre travail de préparation de motif, de la taille, de l’emplacement, de l’option monochrome, polychrome… Vous pourrez, en cas de litige, prouver que vous avez bien fait votre travail.
Et dans le cas contraire, les clients auront une réelle preuve du non-respect du contrat.
Plus d’informations sur www.caphygieneformation.com