Notre priorité était de trouver une solution, dans l’urgence, mais surtout avant la date d’interdiction, pour pouvoir continuer d’utiliser les encres couleurs.
Sachant que d’autre états membre avaient étés bien embêtés avec cette législation européenne nous nous sommes questionnés à savoir comment nos confrères européens pouvaient continuer d’exercer leur pratique du tatouage couleur.
Si nos voisins européens peuvent justifier de l’utilisation de la couleur, pourquoi pas nous ?
La meilleure façon était de contacter les fabricants et leurs revendeurs, pour en savoir d’avantage.
D’après notre consultant, les encres vendues sur le territoire européen et ne contenant pas les ingrédients interdits peuvent être également vendues et donc utilisées en France après l’application inéluctable de l’arrêté du 6 mars.
La question à poser à la DGS et à l’ANSM est simple, peut on utiliser les marques certifiées par des laboratoires européens ?
Cela pouvait dans un premier temps être une solution en attendant d’avoir un rdv pour débattre de l’interprétation de la réglementation.
Nous sommes le 4 décembre, Christophe doit me rappeler pour bien vérifier si la marque allemande dont nous parlons, peut être distribuée par leurs soins et surtout l’utiliser chez nous, pour continuer en toute légalité à utiliser la couleur.
Notre consultant, mandaté pour la lecture et la bonne compréhension de la réglementation, ayant dans le même temps découvert que ce qui bloquait la situation n’était qu’un problème de lecture de colonne. Pas de liste positive comme l’avait jusque là laissé entendre l’administration. Ce qui permet bien d’utiliser TOUTES les encres testées et certifiées comme ne contenant pas les produits interdits.
Nous avons eu plusieurs retours des dirigeant du SNAT, par personne interposées et le biais des réseaux sociaux, nous accusant du vol de leurs investigations, sur la fameuse « faille trouvée » concernant la lecture des textes.