LES "MAUX" DE LA FIN.

  
 

Votre comportement est inacceptable mais surtout indigne de la position que vous occupez auprès de vos adhérents, car si vous ne représentez pas toute la profession, vous représentez au minimum vos membres.

 

Nous le démontrerons au tribunal, puisque régler des comptes personnels sur les réseaux sociaux et de façon aussi abjecte, ne sert strictement à rien, à part prendre un malin plaisir à manipuler certains de vos adhérents et d’essayer de détruire une famille, C’EST UN FAIT.

 

Il semblait important pour les dirigeants du SNAT, de pouvoir communiquer sur la correspondance que nous avions pu échanger, suite au congrès de Copenhague.

 

Ce n'est pas un problème de laisser la lecture libre de cette échange, même si effectivement et une nouvelle fois je trouve cela appauvrissant humainement.
Nous avions essayé d'être le plus transparents possibles, lors de ces échanges, sans jamais manquer de correction malgré la portée des propos et sujets abordés, qui ne méritaient pas d'être diffuser publiquement. Surtout pas en période de trouble.

Je sais à présent que le dossier des encres est réglé, j'ai respecté mes engagements, ceux qui consistaient à faire bonne figure auprès des politiques et de la communauté du tatouage sans nous prononcer de façon négative sur les sujets abordés dans cette correspondance et sur mon point de vue concernant le SNAT.

 

Au fil de la lecture il est évidemment très clair que nous ne sommes pas d’accord sur de nombreux points.

 

L’ensemble de cette correspondance mais surtout les retours des services administratifs qui prouvent de toute évidence votre mauvaise foi et votre incompétence sur cette affaire.

 

Pour aborder cette histoire de plagiat, pensez vous que nous puissions réellement arriver les mains dans les poches, au ministère sans avoir construit un dossier solide ? Pensez vous que nous ayons pu obtenir un rdv en quelques heures après votre communiqué du 11 décembre ? Rdv pris depuis une quinzaine de jours par le Sénateur Jarlier.

 

Ne pensez vous pas plutôt que vous avez essayé de communiquer une partie de nos résultats sur les réseaux sociaux, le 11 décembre à 20h35 pour sortir ce pitoyable argument, en sachant que nous avions rendez vous le 12 décembre, et éviter ainsi le discrédit.

 

De notre côté nous n’avions rien à cacher et nous savons pertinemment à qui nous en avons parlé, forcément…
Puisque ce sont des personnes de votre entourage.

 

Pensez vous que nous puissions être suffisamment idiots pour nous « attirer les foudres » du dirigeant actuel du SNAT, si justement nous n’étions pas portés par la cause à défendre ?

 

Les encres.

 

Pensez vous également qu’à un seul moment nous doutions de votre réaction, tellement vous êtes prévisible et qu’il suffisait d’anticiper vos actions pour nous amener à ce constat ?

Vous avez semble t’il sauvé les tatoueurs français, les conventions françaises et aimeriez manifestement la paternité d’un nouveau sauvetage, celui des encres.

 

Je ne vous en reconnais pas la légitimité, et ne pourrais pas vous en faire le cadeau, car cette victoire ne nous appartient pas.
Arrêtez d’instrumentaliser une nouvelle fois les professionnels avec ce « c.a.p » qui n’est entre vos mains qu’un chiffon rouge, que vous agitez sur la place publique ou devant « les artistes tatoueurs », pour me porter au bûcher.

 

Pensez ne serait-ce que 10 secondes à cette magnifique mobilisation qui à recensé presque 170 000 signatures, autrement dit les amoureux du tatouage et aussi nos clients accessoirement, sans qui nous ne sommes rien.

Mobilisation à laquelle vous avez contribué et je vous en félicite une nouvelle fois.

Cette victoire est la leur, et non la nôtre.

 

Vous comprendrez donc et suite aux conseils de nos avocats, que nous mettons un terme à cette polémique unilatérale et à nos « échanges ». Une nouvelle fois vous avez été trop loin.
Je vous souhaite de trouver la paix et pourquoi pas d’envisager une petite introspection, un travail sur vous-même, rien de plus. Vivre avec tant de haine semble presque révélateur, même pathologique.

Une remarque, les menaces diverses et variées, comme celle d’attenter à ma vie, ne servent à rien et peuvent finir par générer de l’angoisse.
Une main courante a quand même été déposée, comme vous le savez, je suis bien conseillé.

 

Alors réfléchissez bien.

Je vous souhaite néanmoins une bonne année 2014, rapprochez-vous des vôtres et sachez apprécier les valeurs familiales, il n’y a pas grand chose de plus important dans cette vie.